Samedi dernier, il faisait beau, chaud sous le soleil des derniers jours du mois de septembre.
Ce soir mercredi, il flotte. Il nous tombe des rideaux sur la tête. Et j’commence à avoir froid. L’humidité nous rattrape.
Moi j’ai lancé quelques bûchettes et roule mon poêle chéri parce que je ne veux pas décéder les pieds bleus et les ongles raides collés sur mon clavier, le cucu vissé au fond de mon canapouf sous ma couverture en poils de mouton (ET OUI, j’ai piqué celle de l’homme, la mienne en poils d’ourson est trop éloignée de mon bras).
BERF, comme je lisais le blog de ma BIMS et celui de la Ginie, tout en parcourant la couverture de roman d’amis notamment celui de Madame Michèle Jullian et que je cherchais mon sac-à-main pour envoyer le règlement à mon ami et romancier je voulais citer MONSIEUR BOB Tazar, en même temps je visionnais un reportage sur la reproduction de l’araignée sur la 5 que c’était trop gore,
BEURK !
Tout ça au milieu de mon thé, et que j’ai oublié de manger mon fruit, l’horreur, c’est que tu sais mon goûter c’est sacré.
Mais alors l’histoire de l’araignée ça m’a achevée. Ca et le visionnage du site du grand Canyon et son point de vue à te couper les pattes sur un sol en verre. Tu pourras vérifier la véracité de mon histoire ICI.
Je peux te le certifier car je me suis chopée le plus beau coup de soleil depuis ….
… depuis que l’été est arrivé en retard pour laisser place à l’automne.
Mais qui dit l’automne, dit …. :
Faites chauffer les patates, lance la charcuterie et faites tourner les petits cornichons !!!
Ma Moche et mon moche savent nous réchauffer et nous recevoir.
Pour ma part, j’ai chauffé toute l’après-midi face au soleil, que c’était trop bon de se faire lécher par l’astre solaire.
En attendant, mine de rien, ça faisait un bail que nous n’avions pas fait de raclette.
Allez hip hip hourra pour notre première raclette DEHORS et SOUS LE SOLEIL !
Ben tu sais quoi ?
Y’en a plous !
Les morfales ont tout dévoré.